La pandémie et ses confinements ont mis au jour les dérives en matière de qualité du logement, loin des aspirations de leurs bénéficiaires.
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Les logements sociaux neufs doivent prendre en compte le confort thermique, l'usage et la performance environnementale. Et composer avec un contexte inédit de baisse de financements et de flambée des coûts.
C'était avant la crise. Avant les crises de toute sorte qui se sont succédé. En 2019, un rapport sur la qualité du logement social(1) était commandé à Pierre-René Lemas. Remis début 2021 aux ministères de la Culture, de la Transition écologique et du Logement du mandat Macron 1, ce document proposait des pistes de réflexion pour faire progresser la qualité architecturale et d'usage du logement social. S'adressant aux élus, aménageurs, bailleurs, promoteurs qui produisent en Vefa, architectes et entreprises, l'initiative faisait suite à l'adoption de la loi Elan, les capacités de financement de bailleurs sociaux ayant été sérieusement entamées par une série de mesures. « En particulier, l'instauration de la RLS (imposée aux bailleurs par la loi de finance 2018 et visant à compenser la baisse des APL pour les locataires), représente 5 à 6 % du montant des loyers perçus, rappelle Marcel Rogemont, président de la fédération des OPH. Cela équivaut à une perte de 2 milliards d'euros pour les bailleurs publics quand les bailleurs[…]
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