Les vitrages de sécurité sont testés pare-balles à l'épreuve de tirs à 90° et en angle.
© Sapa
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Les événements violents - attentats, crimes, émeutes, explosions sur des sites industriels… - ont entraîné un renforcement des dispositifs de protection des bâtiments. L'offre de menuiseries s'est adaptée.
Autrefois réservée aux lieux sensibles (banque, administration, commissariat, gendarmerie, centrale nucléaire, etc. ), la protection des menuiseries extérieures contre l'effraction, l'intrusion et les attaques par balles s'étend désormais à d'autres bâtiments : musées, sièges sociaux d'entreprises, voire locaux d'enseignement… Les industriels du secteur ne cachent pas la forte croissance des ventes au fil des ans, surtout depuis les attentats de 2015. Un autre phénomène important a été l'explosion de l'usine AZF, à Toulouse (31), en 2001, qui a questionné le développement urbain autour des sites industriels sensibles, autrefois éloignés des populations.
La façade du commissariat de Beauvais (60) intègre un vitrage pare-balles avec une couche de contrôle solaire et un motif d'aspect miroir.
Les deux tiers des demandes de protection portent actuellement sur des vitrages répondant aux classes BR4/BR5 définies par la norme
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