Pour faire sortir de terre des bâtiments plus vertueux, les constructeurs privilégient des matériaux, souvent plus chers, comme le bois ou le béton bas carbone.
© Sergio Grazia/Séméio architecture
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Si le prix de construction de bâtiments labellisés Énergie positive et réduction carbone peut freiner, des mesures simples permettent d'amortir l'investissement.
Lancé fin 2016, le label E+C- se généralise dans les cahiers des charges des appels d'offres de construction. Et dans le secteur du logement, les retours d'expérience mettent en évidence des obstacles à lever pour permettre l'essor de cette démarche expérimentale. Le premier frein évoqué est le manque de données environnementales mises à disposition par les fabricants et les industriels sur l'ensemble des matériaux et équipements techniques. « En l 'absence de fiches FDES, certains produits sont difficiles à valider ou valoriser dans les projets, ce qui oblige à trouver des équivalents moins vertueux. C 'est le cas des matériaux biosourcés et géolocalisés locaux », note Olivier Gien, architecte de l'agence Alterlab. Un autre frein concerne le surcoût induit par des exigences plus fortes en termes d'impact carbone des constructions, de thermique et de production d'énergie. Pour concevoir bas carbone, les projets tendent à favoriser des matériaux souvent plus onéreux : bois plutôt que béton, béton bas carbone, etc. Il est aussi courant de privilégier les logements[…]
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