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Face à l'urgence climatique qui exige des solutions concrètes pour atténuer notre empreinte carbone, les efforts en recherche prennent une importance cruciale. Une lueur d'espoir émane de l'Université de Stanford, où une nouvelle peinture capable d'orchestrer la température ambiante des édifices voit le jour. Ces résultats ont été consignés dans un article de la prestigieuse revue PNAS le 14 août 2023.
L'Université de Stanford, sous la houlette du professeur Yi Cui, a mené une étude qui met en évidence les caractéristiques d'une nouvelle peinture en matière de régulation thermique, ouvrant ainsi des horizons prometteurs pour le secteur de l'efficacité énergétique. Dans des contextes où les températures sont artificiellement modulées, cette peinture a dévoilé son aptitude à réduire la demande en chauffage jusqu'à 36 %. De manière symétrique, elle s'est avérée capable de réduire les besoins en climatisation de près de 21 %. Si l'on transpose ces conclusions à l'échelle d'un immeuble de taille intermédiaire aux États-Unis, sur une période d'une année, les retombées sont conséquentes : une baisse d’environ 7,4 % de la consommation énergétique globale. « Nous n’avons pas assez de détails sur les technologies employées[…]
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