La création d'une surface cultivée en toiture doit prendre en compte des aspects de portance, d'accès, d'entretien et de coût.
© Merci Raymond
Pour lire l’intégralité de cet article, abonnez-vous aux Cahiers Techniques du Bâtiment - édition Abonné
Appelées à contribuer à la biodiversité et au mieux-vivre dans les villes de demain, les toitures végétalisées doivent encore dépasser un certain nombre de freins pour se développer à plus grande échelle.
La végétalisation des toitures s'impose de plus en plus comme l'une des clefs d'un développement vertueux des villes, au point que de nombreuses métropoles, comme Paris ou Grenoble, encouragent sa mise en œuvre dans leur PLU (i). De la gestion des eaux pluviales à la parcelle à la réduction du phénomène d'îlot de chaleur, en passant par la préservation de la trame verte et l'amélioration du bien-être des habitants, les bénéfices sont multiples.
De nouveaux usages se développent sur les toits de Paris. Ici, un potager vertical en permaculture réalisé par Merci Raymond pour le restaurant.Un stockage tampon des eaux pluviales
La gestion des eaux pluviales à la source constitue un premier atout pour nombre de communes confrontées à la saturation des réseaux d'assainissement lors des orages. Posée sur une membrane d'étanchéité, la toiture végétalisée assure un stockage tampon de l'eau de pluie au niveau des racines et du substrat. Le rejet dans le réseau est limité et différé. Selon le complexe de végétation retenu,[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30
et de 13h30 à 17h30) ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr.