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Soumises aux exigences croissantes de la réglementation, les maçonneries isolantes ont gagné en performances thermiques et composent aujourd'hui un large éventail de solutions.
Au début des années 2000, avant la RT2005, les briques monomur ont le vent en poupe. Ces éléments de 30 cm à 37,5 cm de large intègrent des lames d'air isolantes (jusqu'à R = 3,5 m².K/W) et assurent les fonctions porteuses. Les exigences thermiques ayant augmenté, les fabricants ont transféré ces pratiques aux briques en terre cuite de 20 cm (jusqu'à R = 1,5 m².K/W), permettant de réduire l'épaisseur d'isolant à rapporter et de gagner quelque 3 % en surface habitable*.
Un temps distancés par cette offre dans la maison individuelle, les industriels du béton ont répliqué avec des blocs creux remplis d'isolant, aux performances alignées sur celles des briques de 20 cm, avant de présenter en 2017 des solutions à base de mousse de ciment (jusqu'à R = 1,8 m².K/W).
Isolation répartie ou rapportée
En parallèle de cette compétition briques-blocs béton, des solutions alternatives existent. Que ce soit en monomur ou en bloc isolant, le béton cellulaire, les blocs d'agrégats légers en pierre ponce, ardoise ou argile expansé, mais aussi les blocs[…]
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