La surélévation en toiture d'Ampéris, un R+2 existant en béton a nécessité quelque 120 tonnes d’acier
© DL Ocean
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Entre optimisme et inquiétude liés au conflit en Ukraine ou à l’emploi, Roger Briand, président du Syndicat de la construction métallique de France fait un point sur la situation du secteur et revient sur la RE2020 et la REP PMCB.
Optimisme d’abord pour le SCMF qui affiche le dynamisme des activités du secteur de la construction métallique avec un chiffre d’affaires de 4 milliards d’euros en 2021 et 780 000 tonnes misent en œuvre - en augmentation de 8% par rapport à 2019 - et un premier semestre 2022 qui devrait enregistrer une progression de 2 à 3% avec des carnets de commande à 6 mois. Une activité particulièrement soutenue par les bâtiments industriels et de stockage qui représentent 64% de l’activité, suivis par les gares, les arénas, les parking puis les bâtiments agricoles, les ponts et passerelles…
Cependant le syndicat est particulièrement inquiet quant aux augmentations du prix des aciers et des matières premières. S’ajoutent aux flambées des prix dues à la pénurie des matériaux (+ 142 % sur l’acier en 15 mois depuis novembre 2020), celles liées à la guerre en Ukraine. En effet, 80% des brames utilisés (demi-produit sidérurgique) proviennent de ces Etats de la Russie et l’Ukraine. « Les commandes enregistrées[…]
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