À l'échelle urbaine, la nature apporte plus de bénéfices à l'homme que n'importe quelle solution technologique.
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Pour contrer les effets du changement climatique, dont le phénomène des îlots de chaleur (ICU), de plus en plus de métropoles déploient des stratégies de végétalisation. Mais leur adaptation ne va pas de soi.
Le deuxième volet du sixième rapport du Giec publié fin février est formel : les vagues de chaleur et autres épisodes de canicule devraient avoir dans les prochaines décennies un impact significatif sur les villes et le confort de leurs habitants. Pour anticiper ce risque majeur, les donneurs d'ordres favorisent de plus en plus la composante végétale dans leurs projets. « Il y a encore quelques années, l'arbre en ville était perçu comme simplement ornemental, voire patrimonial », note Ariane Rozo, coordinatrice urbanisme en lien avec la santé et l'environnement à l'Ademe. Pourtant, à l'échelle urbaine, la nature, par son fonctionnement, apporte plus de bénéfices à l'homme que n'importe quelle solution technologique. « C'est là qu'entre en jeu la notion des services écosystémiques, ces services essentiels à notre survie, comme la dépollution de l'air, sa décarbonation, la filtration de l'eau, le confort thermique, la pollinisation, etc. C'est une notion très intéressante mais qui peut être très utilitariste si on ne prend pas[…]
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