Dans la ZAC des Rives-de-la-Haute-Deûle, à Lille (59), la gestion des eaux de pluie passe par la création d'un jardin d'eau qui fonctionne comme un bassin de stockage avant un rejet des eaux régulé dans le canal voisin du bras de Canteleu.
© Max Lerouge
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Si les réserves restent abondantes, les tensions locales sur la ressource et le changement climatique imposent une gestion alternative des eaux de pluie et des eaux usées.
La question des économies d'eau est relativement récente en France : avec un stock d'eaux souterraines estimé à 2 000 milliards de mètres cubes et une pluviométrie annuelle de 503 milliards de mètres cubes, l'Hexagone fait figure de privilégié. Les besoins en eau potable se stabilisent ces dernières années autour des 5,3 milliards de mètres cubes : rapportée à la population, cette consommation reste inférieure à la moyenne européenne.
« De fortes disparités géographiques »
Tous usages confondus, les progrès de l'électroménager et de l'industrie ont permis une baisse de 13 % des prélèvements d'eau par habitant depuis le début des années 2000, où ils avaient atteint un pic. « Ce tableau optimiste ne doit pas faire oublier qu' il existe néanmoins de fortes disparités géographiques sur la ressource et des variations de pluviométrie croissantes d 'année en année », rappelle Marillys Macé, directrice générale du Centre d'information sur l'eau. L'année 2017 a vu les arrêtés préfectoraux d'économies d'eau se prolonger jusqu'au mois de novembre dans[…]
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