L'important linéaire de façades des terminaux de Paris-Orly fait actuellement l'objet d'études visant à une amélioration de leur performance, dans une logique de rénovation vertueuse.
© Gwen Le Bras/Groupe ADP
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Les turbulences traversées depuis 2020 incitent le secteur aéroportuaire à accélérer la transformation de son modèle, pour réduire drastiquement ses émissions de CO2, s'adapter aux usages et accueillir l'avion du futur.
Selon le rapport d'activité 2020 de l'Union des aéroports français (UAF), le trafic des plateformes françaises a diminué de 67,3 % en 2020 (versus 2019) - soit 70 045 572 passagers commerciaux (2020) contre plus de 214 millions (2019). Un dévissage sévère, venu s'ajouter à la forte opposition soulevée par plusieurs projets d'extensions envisagés avant la crise sanitaire (sans même parler de l'abandon du controversé aéroport Notre-Dame-des-Landes (44) en 2018). Depuis l'effondrement du trafic et des prévisions de croissance des aéroports, certains d'entre eux ont été suspendus. Quant à celui du Terminal 4 de Paris-Charles de Gaulle (CDG), il a été retoqué par le gouvernement début 2021. La conjoncture force ainsi le secteur aéroportuaire à une escale sans précédent. Et si la loi Climat et résilience s'oriente vers le principe d'une décroissance - modérée - du trafic sur les aéroports nationaux en prônant la suppression de lignes domestiques pour lesquelles il existe une alternative ferroviaire de moins de 2 h 30[…]
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