La piscine du Néron, à Saint-Egrève (38), est signée par l'équipe Berthomieu-Bissery-Mingui (BBM).
© Sivom
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De nouveaux complexes aquatiques, au programme plus étendu que leurs aînés, cherchent à contrebalancer le coût de construction et de maintenance des équipements.
Dédiée hier à l'enseignement et à la pratique sportive de la natation, la piscine municipale se tourne désormais vers la détente et le loisir, devenant un lieu multiactivité ouvert à un large public. Le grand boom des centres aqualudiques en France fait écho à cette tendance, en même temps qu'il satisfait au besoin de renouvellement d'infra structures vieillissantes, datant des années 70 et 80. Dans les nouveaux programmes, le bassin sportif continue d'occuper une place centrale : ses dimensions (25 ou 50 m de long x 15 à 25 m de large), de même que les impératifs liés aux championnats départementaux, régionaux ou nationaux (profondeur, gradins pour pieds secs, passerelles de comptage, éclairage, etc.) conditionnent en effet la configuration des ouvrages. Mais il est aujourd'hui complété au gré des programmes par des bassins de nage extérieurs, d'autres de faible profondeur pour l'apprentissage et la pratique de sports doux tels que l'aquagym ou l'accueil de bébés nageurs, des toboggans à plusieurs files (pentagliss), voire des piscines à vagues, des spas et autres[…]
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