Heureusement, les affaissements de balcons sont rares : ils peuvent être provoqués par une mauvaise conception ou mise en oeuvre, mais aussi par des défauts d'étanchéité.
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Spectaculaires et dangereuses, les ruptures de balcons marquent les esprits y compris chez les professionnels. Pourtant, au quotidien, ce sont bien les problèmes d'étanchéité et de parement qui mobilisent l'attention.
Les balcons, loggias, coursives et escaliers extérieurs sont très exposés aux aléas climatiques. Infiltrations d'eau, chocs thermiques, phases de gel-dégel favorisent les désordres. La base de données assurantielle Sycodés, gérée par l'Agence Qualité Construction (AQC), recense trois causes principales de pathologie : les défauts de jonction avec la structure du bâtiment, les défaillances du revêtement des ouvrages, ainsi que les problèmes de solidité notamment pour les balcons. En résidentiel, ces trois points faibles représentent respectivement 39 %, 27 % et 10 % des désordres enregistrés.
Atteintes à la solidité
Les risques les plus graves proviennent des défauts de ferraillage des balcons en porte-à-faux. En effet, les efforts de tension sont repris par le lit d'armatures supérieur. Sur chantier, il arrive que la mise en œuvre soit par erreur inversée, ou que le positionnement haut des fers soit malencontreusement abaissé. Les experts construction qui travaillent avec l'AQC[…]
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