La réhabilitation des résidences Noirettes (photo) et Grand-Bois à Vaulx-en-Velin (69) pour le compte d'Est Métropole Habitat, a permis de tester la réplicabilité à grande échelle des principes de la démarche EnergieSprong compatible : 42 % des façades de l'opération ont été isolées en recourant à des panneaux préfabriqués.
© Julien Rambaud
Pour lire l’intégralité de cet article, abonnez-vous aux Cahiers Techniques du Bâtiment - édition Abonné
Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement Les Cahiers Techniques du Bâtiment - édition Abonné
Impulsé par les pouvoirs publics pour accélérer la rénovation du parc social, le recours à l'industrialisation influe sur les pratiques des équipes de maîtrise d'œuvre et des entreprises de construction. État des lieux.
L'éradication des passoires thermiques est un enjeu crucial en France, dont le secteur du logement social s'est emparé, en profitant de l'élan donné par l'appel à projets MassiRéno, lancé fin 2020, dans le cadre de France Relance. Cet AAP a mis l'accent sur l'industrialisation comme moyen de contribuer à la massification de la rénovation énergétique. À cet égard, il faut souligner le rôle de défricheur joué par l'opérateur Greenflex, promoteur, dans l'Hexagone, de la démarche néerlandaise EnergieSprong, basée notamment sur le recours à la préfabrication ( lire CTB n° 374 et CTB n° 398). Celle-ci, d'abord menée à titre expérimental sur de petites opérations de logements individuels, se décline depuis peu en version E=0 (pour « rénovation énergie zéro garantie », visant une étiquette A), ou en version « EnergieSprong compatible » (visant une étiquette B), sur des programmes de grande ampleur, impliquant parfois des immeubles de moyenne hauteur (IMH). Ainsi, la réhabilitation des résidences Noirettes et[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30
et de 13h30 à 17h30) ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr.