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Des essais de désenfumage grandeur nature ont été pratiqués dans le terminal 2 de l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle pour vérifier que les systèmes installés répondent toujours aux objectifs de sécurité incendie.
Le premier aéroport de France vit au rythme constant de travaux d’extension, de modernisation ou de rénovation de ses terminaux, qui ne sont pas sans impacts sur les systèmes de désenfumage. D’où l’obligation de reprendre l’ensemble des calculs concernant les débits d’extraction des fumées, les amenées d’air, ou encore les exutoires de désenfumage proprement dits, pour se conformer à l’instruction technique 246, qui est le règlement de sécurité définissant les installations de désenfumage mécanique ou naturel dans les ERP. En septembre dernier, la division ingénierie incendie et sûreté de QCS Services a donc été chargée par Aéroports de Paris (ADP) de conduire des essais de désenfumage sur le satellite S3 situé dans le terminal 2. Un ouvrage de 900 m de long divisé en trois zones, avec un corps central comprenant des commerces, des restaurants, ainsi que le contrôle passagers. Et d’une hauteur sous plafond pouvant atteindre 12 m. Problème : lors de travaux, les installations de désenfumage ne[…]
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