Le centre hospitalier d'Ajaccio est l'un des premiers projets à mettre en œuvre le BIM à grande échelle. Avec la maîtrise relative des outils qu'implique d'être le premier.
© Aart Farah
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Les appels d'offres stipulent de plus en plus un recours au BIM et les soumissionnaires sont invités à détailler leurs compétences tant dans les outils que dans le process. Mais entre le déclaratif et la réalité, l'écart peut être grand et soulève le débat d'un « label BIM ».
Pour les maître d'ouvrage, la chose est entendue : une certification des entreprises qui attesterait leur savoir-faire BIM serait utile pour garantir la qualité du travail et des échanges numériques. Michel Filleul, directeur de projet du centre hospitalier d'Ajaccio - l'un des premiers à mettre en œuvre le BIM à grande échelle ( voir CTB n ° 350) -aurait bien aimé travailler uniquement à des entreprises ayant un savoir-faire BIM reconnu. Il a dû faire autrement, car Inso, l'entreprise mandataire retenue, était encore peu habituée aux échanges et à la maquette numérique. « Pour l'occasion nous avons donc choisi de confier au CSTB la responsabilité d'assurer la cohérence générale des données, de contrôler la qualité de la maquette et de la démarche auprès des architectes et des bureaux d ' étude » , confie le directeur. Cette sous-traitance nécessite cependant d'avoir à former les entreprises au coup par coup. Côté maîtrise[…]
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