Lignes à haute tension et antennes-relais émettent des ondes électromagnétiques dont l'innocuité reste encore à prouver.
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Si l'air intérieur constitue une source importante de pollution, l'Anses s'interroge également sur l'impact sanitaire des ondes électromagnétiques. Et des solutions préventives dédiées se développent.
Un sujet d'interrogation encore récent pour les scientifiques est celui de la dangerosité des ondes électromagnétiques. Ces dernières, rappelons-le, produisent simultanément un champ électrique et magnétique (CEM). Leur fréquence se mesure en hertz (nombre d'oscillations par seconde) tandis que l'exposition aux ondes est appréciée en volt par mètre (V/m). En France, la moyenne se situe à 1 V/m alors que le Conseil de l'Europe recommande de ne pas dépasser 0,6 V/m. Il faut savoir que les bornes Wi-Fi, les smartphones, les téléphones DECT, les antennes-relais de téléphonie mobile, les dispositifs Bluetooth et autres appareils sans fil émettent des ondes radio hautes fréquences allant d'une dizaine de mégahertz (MHz) à quelques gigahertz (GHz). Émises par saccades, elles sont susceptibles de perturber le système nerveux et de provoquer notamment des troubles du sommeil, de la nervosité, etc. Certaines études suspectent même des effets sur l'ADN, la reproduction et le développement des cancers.
Voilà pourquoi le Centre international de[…]
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