© Wlad Simitch
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Tribune de Pierre de Montlivault, président de la Fedene.
Il aura malheureusement fallu la guerre en Ukraine et l'envolée des prix du gaz et de l'électricité pour que les économies d'énergie deviennent enfin une priorité française et européenne. Pouvoir d’achat, compétitivité des entreprises, protection du climat, les enjeux sont cruciaux. Jusque-là, l’accent a surtout été mis sur la sobriété en termes d’évolution des comportements individuels. Entre signal prix et sensibilisation aux enjeux, les premiers résultats sont là : les 10 % d’économies sont presque au rendez-vous. Mais ne nous y trompons pas, ce seul levier ne garantit pas la permanence de ces bons résultats : si les prix de l’énergie baissent, continuera-t-on à respecter strictement les 19 °C dans nos logements ou l’arrêt de l’eau chaude dans les lavabos des entreprises ?
Qui plus est, pour sauver le climat, le chiffre de 10 % n’est qu’une première étape au niveau des économies d’énergie dans les bâtiments. Il est nécessaire de combiner sobriété et efficacité énergétique pour atteindre au moins 20 % et, mieux encore, aller le plus rapidement possible vers les 40 % d’économies d’énergie en ajoutant des actions sur le bâti. C’est[…]
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