Les enveloppes peuvent être constituées de bardages double peau, de panneaux sandwichs à parement métallique lisse et âme isolante (ici à Mitry-Mory).
© Segro
Pour lire l’intégralité de cet article, abonnez-vous aux Cahiers Techniques du Bâtiment - édition Abonné
Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement Les Cahiers Techniques du Bâtiment - édition Abonné
L'optimisation des trames et des hauteurs, le recours à des systèmes constructifs industrialisés et à des équipements techniques peu énergivores, caractérisent ces bâtiments tournés vers l'efficacité.
Si l a conception des entrepôts est régie par les différents règlements d'urbanisme et la loi sur les installations classées pour la protection de l'environnement (ICPE), elle répond avant tout à des contraintes de stockage, d'organisation et de gestion de flux. Une rationalisation extrême qui chasse le mètre carré inutile, avec, à la clé, un coût de construction de 2 pour un programme avec bureaux et locaux pour le personnel. Le volume parallélépipédique est le plus adapté. Les bâtiments sont ainsi 2, coupe-feu 2H ou 4H. Leur surface totale peut atteindre plusieurs dizaines de milliers de mètres carrés, la ten-2.
Les quais de chargement sont regroupés sur une ou deux façades dans le cas d'un entrepôt à flux traversants. Ils sont équipés de niveleurs et de portes sectionnelles automatisées. Les dimensions des allées et le positionnement des poteaux sont déterminés par les éléments de stockage et les engins de manutention. Parmi les standards du marché, figurent des trames de 24 x 12 m ou 18 x 12 m, et des hauteurs sous poutre de[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30
et de 13h30 à 17h30) ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr.