Grâce à l'alimentation en courant plus élevée des Leds, le flux lumineux des luminaires du vestibule du Louvre d'Abu Dhabi a pu être augmenté d'environ 40 %, ce qui donne au plafond blanc de près de neuf mètres de haut l'aspect d'un ciel étoilé et scintillant.
© Louvre Abu Dhabi/Marc Domage
Pour lire l’intégralité de cet article, abonnez-vous aux Cahiers Techniques du Bâtiment - édition Abonné
Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement Les Cahiers Techniques du Bâtiment - édition Abonné
Pour répondre aux besoins variés des œuvres et aux exigences très diverses des différents décideurs, les projecteurs offrent à la fois précision et souplesse grâce à des optiques et des réglages adaptables.
Difficile pour les scénographes et concepteurs lumière de concilier les objectifs de l'architecte, qui préfère que l'environnement soit mis en valeur, ceux du commissaire d'exposition, souhaitant communiquer sur le contenu de l'ensemble de la collection, quand le collectionneur entend faire partager une certaine esthétique et que l'artiste s'attend à une présentation adaptée à ses œuvres. Même si les débats, parfois contradictoires, entre les différents acteurs persistent, la réponse se trouve sans doute dans l'offre produits. Pour Thomas Schielke, rédacteur spécialisé en éclairage et architecture chez Erco, « la mise en valeur de l'art par l'éclairage dans les musées s'accompagne d'une interprétation » ( L'interprétation de l'art par la lumière, 2017). Et de l'adaptation des produits, a fortiori.
L'adaptabilité au service de la pérennité
Ce qui a été notamment le cas lors de la mise en lumière du Louvre Abu Dhabi par Rémy Cimade-villa, chef de projet de l'agence de conception lumière française 8'18” : «[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30
et de 13h30 à 17h30) ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr.