Utilisé ici à La Défense, l'hyperviseur de Vinci Énergies permet de visualiser en 3D les données émises par les 14 000 capteurs du quartier dans un environnement de grande densité urbaine aux couches physiques multiples (RER, autoroute, métro… ).
© Source : Vinci Énergies
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L'intégration du bâtiment dans la smart city repose sur la production locale d'énergie renouvelable, son stockage et son partage. Mais des interactions existent avec l'eau, les aménagements urbains, la mobilité…
L'époque actuelle est au smart. Téléphones, caméras, luminaires, radiateurs, immeubles, réseaux d'énergie, tous les équipements deviennent intelligents ainsi que la ville elle-même. Dans les faits, le numérique est omniprésent. La première couche est celle de l'IoT (Internet of Things), illustrée par le déploiement de réseaux communicants de capteurs et de compteurs. En ajoutant une strate d'algorithmes et des superviseurs logiciels capables de prendre certaines décisions et de progresser par auto-apprentissage, la technologie fait alors preuve d'une forme d'intelligence.
De nombreuses applications de la smart city concernent les transports et la mobilité, mais un socle important demeure l'énergie, avec l'intégration des bâtiments aux réseaux intelligents (smart grids) thermiques ou électriques. La collectivité locale, au travers d'une démarche Territoire à énergie positive (Tepos) et bas carbone, peut mutualiser certaines ressources (énergie, eau ou places de parking) et sécuriser son développement économique. Ainsi,[…]
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