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Présents en France depuis une dizaine d'années, les systèmes de récupération de chaleur sur eaux grises ont gagné en conformité réglementaire et en performance. Leur choix relève d'un compromis entre les économies d'énergie possibles et le retour sur investissement.
En termes d'énergie, c'est un gâchis insensé : tous les jours, le consommateur rejette à l'égout une eau entre 20 et 30 °C issue des douches, lavabos, lave-vaisselles… Cette énergie « fatale » représente un gisement énorme. « Sur les bâtiments RT2012, pour lesquels les consommations de chauffage ont déjà été réduites, l'ECS constitue maintenant le premier poste de consommation thermique avec 20 à 30 kWhep/m²/ an », résume Christian Cardonnel, consultant en efficience énergétique et environnementale du bâtiment. Ce n'est donc pas un hasard si la récupération de la chaleur fatale sur les eaux grises et usées est désormais considérée comme une énergie renouvelable selon la loi de Transition énergétique de 2015. On parle désormais d'EnR & R pour Énergies renouvelables et de récupération.
Le système est basé sur un bac de récupération des eaux grises, à partir duquel un échangeur transmet les calories à une pompe à chaleur (PAC).Cette dernière[…]
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