L'ÉcoQuartier Île de la Marne, à Noisy-le-Grand (93) est en cours de livraison avec 500 logements mixtes, un équipement d'accueil petite enfance, un restaurant et des commerces. Le projet se caractérise par la qualité de ses espaces verts et l'attention portée au vivre-ensemble.
© Mutabilis
Pour lire l’intégralité de cet article, abonnez-vous aux Cahiers Techniques du Bâtiment - édition Abonné
Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement Les Cahiers Techniques du Bâtiment - édition Abonné
La démarche d'urbanisme durable entame une mue nécessaire face aux enjeux de la transition environnementale, ainsi qu'aux critiques. L'objectif ? Remédier au décalage entre ambitions et réalité.
Le référentiel ÉcoQuartier fête ses dix ans d'existence. Un anniversaire sous le feu des critiques pour ce label national qui va être refondu d'ici à 2022. Ses détracteurs pointent en effet l'obsolescence de plusieurs cibles du référentiel face à l'accélération des enjeux environnementaux. Quoi de plus normal pour une démarche qui a débuté en 2009, dans le prolongement du Grenelle de l'environnement, qui entendait alors « favoriser de nouvelles façons de concevoir, construire et gérer la ville durablement » ? Sauf que le cadre n'a pas changé depuis lors. Ainsi, le manque d'ambition concernant les volets environnementaux (carbone, énergie grise, gestion des déchets, chantier durable) et sociaux (place des femmes, des enfants, des personnes en situation de handicap...) revient régulièrement dans les retours d'expérience. La décorrélation entre les ambitions de départ et la réalité de la gestion de ces quartiers durables après rétrocession interroge par ailleurs la gouvernance de ces opérations, de même que « la fabrique d'un entre-soi »[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30
et de 13h30 à 17h30) ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr.
