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Le traitement des sols, la renaturation des plateformes et la préservation de la biodiversité dans l'important foncier que détiennent les aéroports s'inscrivent aussi dans la logique de réduction des émissions de GES. Le Groupe ADP étudie actuellement les conditions d'une stratégie zéro artificialisation nette sur ses emprises. Un autre enjeu consiste à réintroduire la nature au sein des plate-formes. « Elles se sont minéralisées au fil des dernières décennies, et il importe d'y restaurer un continuum de végétalisation et de biodiversité, notamment pour participer aux stratégies durables de confort d'été », souligne l'architecte Olivier Cornefert (ADP). À noter que ces prairies aéroportuaires (en photo, celles d'Orly) sont au cœur de la démarche de l'association Aéro Biodiversité, qui, reposant sur des protocoles spécifiques adossés à la stratégie nationale de biodiversité et validés par un comité scientifique rattaché, entre autres, au Museum national d'Histoire naturelle, consiste à inventorier la faune et la flore de ses plateformes partenaires dans le but de préserver la biodiversité et d'améliorer la gestion des risques animaliers, en particulier aviaires.
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