Gérée par le Crous de Nice-Toulon (83) depuis son ouverture en 2016, la résidence Olivier-Chesneau propose 196 T1 de 20 m2 pour étudiants et 51 appartements (T1 à T3) pour enseignants chercheurs.
© In Situ
Pour lire l’intégralité de cet article, abonnez-vous aux Cahiers Techniques du Bâtiment - édition Abonné
Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement Les Cahiers Techniques du Bâtiment - édition Abonné
Les résidences étudiantes s'adaptent aux besoins et modes de vie des nouvelles générations en proposant une offre de logements diversifiée, de la colocation, des services, ainsi que des espaces partagés.
Concevoir des résidences qui favorisent à la fois le bien-être et la réussite dans les études est depuis quelques années lecœur des nouveaux programmes pour étudiants. Publics ou privés, les projets sont aujourd'hui nombreux, tant est criant le manque de logements étudiants. Les 28 Centres régionaux des œuvres universitaires et scolaires (Crous) mènent à ce titre une politique de construction active afin d'étendre le parc public actuel, qui comptait 174 000 places à la rentrée 2017. Quelque 30 000 à 40 000 places supplémentaires seront ainsi créées d'ici à 2023 (dont 6 584 programmées et 8 812 supplémentaires à l'étude en Île-de-France, 2 600 à Lyon, 3 500 à Bordeaux… ). Les opérateurs privés - Nexity Studea, Réside Études, Studélites (BNP Paribas), Kley… - ne sont pas en reste et multiplient aussi les opérations dans les principales villes universitaires.
Au diapason de l'habitat collectif
Comme le souligne Alexandre Aumis, directeur général du Crous de Créteil (94), « une résidence étudiante est un lieu pour[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30
et de 13h30 à 17h30) ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr.