© Nicolas Robin
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Le groupe Serge Ferrari a développé et breveté une technologie appliquée à ses membranes composites pour détruire les coronavirus des surfaces.
Une dizaine de collaborateurs de l’équipe R&D du groupe Serge Ferrari a été mobilisée à plein temps depuis le début de la pandémie pour développer une technologie destinée à réduire la charge virale des coronavirus de ses membranes composites. Elle permet de la diminuer à hauteur de 95% après un quart d’heure de contact, et de près de 99,5% après une heure de contact, par rapport à une membrane non-traitée.
Le principe consiste à appliquer par enduction directe sur les membranes un traitement à base des particules d’argent, reconnues pour leurs propriétés antivirales. « Cette technologie, testée par le laboratoire lyonnais Virhealth, spécialisé dans les applications virucides des technologies de décontamination/désinfection, empêche les toiles de devenir des surfaces de propagation des virus et des bactéries et contribue ainsi à réduire le risque et la vitesse de contamination », précise Sébastien Baril, directeur marketing du groupe.
Répondre au besoin de sécurité sanitaire
Pour l’heure, la commercialisation de ce produit est lancée auprès de 350[…]
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