La plupart des papiers peints ont un classement au feu B-s1, d0, ce qui les rend conformes à une mise en œuvre dans les lieux publics, les hôtels, les restaurants et les bâtiments tertiaires.
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S'il n'existe pas encore de label environnemental pour le papier peint, les fabricants et les éditeurs ont redoublé d'efforts pour faire évoluer leur offre et proposer des produits moins nocifs.
Les critères de choix d'un papier peint portent en premier lieu sur le type de papier. Le plus vertueux est le revêtement traditionnel, constitué d'une seule épaisseur (simplex) ou de deux épaisseurs de papier contrecollées (duplex) sur lesquelles le motif est imprimé. Certains sont fabriqués à partir de papier recyclé, qui peut représenter près de 60 % de leur composition. Le duplex, du fait de son grammage plus élevé (ép. de 150 à 220 mg/m2), est plus résistant et plus facile à poser. Il peut également être gaufré à froid pour présenter un relief. Le papier peint traditionnel est lavable mais il a pour inconvénient d'être sensible à la lumière et ne convient pas aux pièces humides. Autre désavantage, sa mise en œuvre moins aisée. En effet, il requiert un support propre et lisse et doit être appliqué par encollage des lés, ce qui nécessite une table à encoller. Il existe par ailleurs le papier peint intissé, qui représente la plus grande partie des ventes. Il peut être constitué d'une couche de surface en vinyle, en PVC, ou d'un[…]
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