À Strasbourg (67), la dépollution en cours de la ZAC des Deux Rives a pour but de traiter et recycler sur place 266 000 m3 de terres rendues stériles ou polluées aux hydrocarbures par le passé industriel du site.
© SPL Deux Rives
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La réhabilitation des sites pollués se conforme à des protocoles précis. En amont, les examens et le diagnostic s'avèrent essentiels pour définir la nature des polluants et planifier les interventions adéquates.
En France, contrairement à ce que pratiquent d'autres pays européens, les démarches de remise en état des sols pollués ne sont pas encadrées par des valeurs seuils à respecter. « À ce jour, il n'existe pas de loi sur les sols, souligne Thierry Jumeau, directeur technique de Soler Environnement. Notre travail s'appuie sur les lois sur l'eau, l'air et les déchets rassemblées dans le Code de l'environnement. Sur ce premier socle juridique est venue se greffer une doctrine ministérielle formalisée par la méthodologie nationale de gestion des sites et sols pollués établie à partir de 2007, puis mise à jour en 2017. » « La réglementation française pose comme principe que chaque site est unique. Les solutions ne sont pas extrapolables, complète Daniel Hubé, ingénieur environnementaliste du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM). La méthode varie selon les caractéristiques du site et les usages envisagés. Les modes d'actions vont différer selon que l'on édifie un bâtiment industriel ou une école. L'approche se[…]
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