A. Tour Saint-Gobain à Courbevoie (92), par l'agence Valode & Pistre.
© Sergio Grazia
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Les IGH tertiaires sont des constructions dont les coûts de matériaux et de mise en œuvre sont fortement contraints par la hauteur. Défis architecturaux, ils se confrontent aux enjeux environnementaux.
Signes d'une ville qui se reconstruit sur elle-même, les tours de bureaux s'inscrivent dans un tissu urbain dense où le coût du foncier amène à optimiser les surfaces et à construire en hauteur. Elles appartiennent à la catégorie des immeubles de grande hauteur (IGH) dès 28 m de hauteur, ce qui est aujourd'hui courant dans les quartiers d'affaires des grandes métropoles du territoire, comme dans celui de La Défense en Île-de-France. Leur hauteur correspond généralement à la limite autorisée par le PLU. Elles dépassent rarement le seuil des 200 m, qui oblige un classement en immeuble de très grande hauteur et l'application d'une réglementation plus drastique encore que celle des IGH. Imposant des dispositifs de sécurité incendie renforcés par rapport à ceux imposés par le Code du travail aux bâtiments tertiaires classiques, l'application de la réglementation IGH explique déjà une partie du surcoût généré par la conception des immeubles de bureaux de grande hauteur. D'autres raisons tiennent à la morphologie même des tours, à leur[…]
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