La douche zéro ressaut fait disparaître la notion de cuve que représentait le receveur. La salle de bains doit désormais être considérée comme un ouvrage étanche continu, et non comme l'addition d'équipements séparables les uns des autres.
© Geberit
Pour lire l’intégralité de cet article, abonnez-vous aux Cahiers Techniques du Bâtiment - édition Abonné
Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement Les Cahiers Techniques du Bâtiment - édition Abonné
L'arrêté portant sur la notion de douche sans rebords est loin de faire l'unanimité. Doit-on s'attendre à un accroissement futur des dégâts des eaux ? Quelles solutions pour répondre à cette disposition ? Enquête.
Avancée sociale ou choix arbitraire ? C'est la question que se posent les acteurs de la construction face à une décision soucieuse de faciliter le quotidien des personnes à mobilité réduite (PMR). L'arrêté du 11 septembre 2020 relatif à l'accessibilité aux personnes handicapées des bâtiments d'habitation collectifs et des maisons individuelles lors de leur construction a en effet supprimé le ressaut maximal de 2 cm jusqu'alors autorisé entre le sol de la salle d'eau et l'espace douche. Cette disposition crée la notion de douche accessible « zéro ressaut » et s'applique aux logements collectifs neufs dont le permis de construire a été déposé à partir du 1er juillet 2021. « Le zéro ressaut vise à créer une douche sans obstacle ou sans dénivelé ponctuel qui puisse amener le pied à buter et entraîner un risque de chute lorsqu'on passe d'une zone sèche à une zone humide », détaille Virginie Merlin, ingénieure responsable de projet à l'Agence qualité construction (AQC) et ancienne référente technique nationale[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30
et de 13h30 à 17h30) ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr.