Début de la démolition de la Muraille de Chine, après une longue phase d’études entamée en 2015.
© Eiffage
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Pas d’explosifs pour détruire ce grand ensemble emblématique, ainsi qu’un autre immeuble clermontois. Mais une déconstruction méthodique, à l’appui d’études et de diagnostics méticuleux menés en amont.
La démolition de 522 logements sociaux du plateau Saint-Jacques à Clermont-Ferrand (63) n’est pas allée sans poser de difficultés. Cette opération, débutée en 2021 avec la destruction de l’immeuble L’Allée des Dômes, de 15 niveaux et 50 m de haut, rassemblant 168 logements livrés en 1961 – s’est poursuivie d’avril à mi-juillet dernier, avec la démolition de la Muraille de Chine. Une barre monumentale, longue de 320 m, haute de 27 m, constituée de 14 immeubles formant un ensemble de 354 logements datant de la même année. AMO du bailleur Assemblia lors d’une première consultation en 2015, le BET Ingérop a analysé les difficultés inhé- rentes à la démolition de ce type d’ouvrage. Le RdC de l’Allée des Dômes abritait en effet une chaufferie de quartier et une cogénération gaz, dont les conduits de fumées traversaient les étages. Les réseaux de distribution de chaleur circulaient sous les deux ouvrages, fournissant aussi les autres immeubles du quartier. Par ailleurs, la majorité des opérateurs de[…]
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