La ZAC de Bonne, premier ÉcoQuartier grenoblois, se déploie sur le site d'une ancienne caserne militaire. Un parc de 4,5 ha a été préservé.
© Alain Fischer
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À Grenoble, professionnels et élus tirent encore les leçons du tout premier ÉcoQuartier français, aménagé sur la ZAC de Bonne. La question des usages, mais aussi de la santé, se répercute sur les opérations en cours.
L'ÉcoQuartier de Bonne a essuyé les plâtres. Cette opération, inscrite sur le site d'une ancienne caserne militaire, avait pour vocation d'épaissir le centre-ville de Grenoble. Comportant entre autres 850 logements, dont 40 % à caractère social, 5 000 m² de bureaux, un centre commercial coiffé de panneaux photovoltaïques, des résidences pour personnes âgées et pour étudiants, ainsi qu'un hôtel, il affichait de grandes ambitions urbaines, environnementales et énergétiques. Mais ce nouveau morceau de ville, lauréat en 2009 du Grand prix national des ÉcoQuartiers, a connu son lot de ratés techniques et d'usage. Notamment des surconsommations de chauffage (jusqu'à 70 %) dues à des défauts de mise en œuvre et d'utilisation de certaines innovations techniques. Mais aussi des problèmes relatifs à l'étanchéité extérieure au niveau des liaisons des doubles murs et de mauvais accrochages de bardage ayant réduit le coefficient de déperdition thermique des bâtiments ; ainsi que des défauts d'étanchéité à l'air en raison de[…]
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