Pour améliorer la protection solaire, la RIVP a testé récemment la pertinence d'un vitrage intégrant un système de lames occultantes, développé par la start-up Immoblade.
© RIVP
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Avec l'accroissement des vagues de chaleur, les bailleurs sociaux ne peuvent désormais plus faire l'impasse sur la problématique du confort d'été au moment d'engager des campagnes de rénovation thermique.
Contrairement au fait d'avoir froid en hiver, avoir trop chaud l'été dans son logement n'était qu'une préoccupation secondaire. Mais les plaintes d'occupants se multipliant, la précarité thermique estivale entre progressivement dans les préoccupations des bailleurs, souligne Véronique Velez, responsable du département Innovation et prospective au sein de la direction de la maîtrise d'ouvrage de l'Union sociale pour l'habitat (USH). Et le phénomène de « bouilloires énergétiques » est devenu suffisamment alarmant pour que la Fondation Abbé Pierre lui consacre un rapport(1) en juin dernier.
Pour accompagner les bailleurs sociaux, l'USH et le Cerema ont élaboré un outil d'évaluation et de prévision du niveau de confort thermique d'été (RITE), à l'aune de prévisions climatiques d'aujourd'hui, de 2050 et 2080. « À l'aide d'un menu déroulant reprenant la localisation, la typologie de logement, l'exposition, quelques caractéristiques techniques et le mode de vie des habitants, RITE donne un indicateur en degré/ heure d'inconfort[…]
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