Des démarches volontaires de labellisation ont été entreprises par l'ensemble des fabricants de peinture afin de mettre en avant les qualités sanitaire et technique d'une ou plusieurs de leurs gammes.
© Zoplan
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D'importants progrès ont été effectués pour doter les peintures les moins nocives pour la QAI de performances équivalentes aux plus émissives en COV : temps de séchage, couleurs, rendement, opacité…
Sur le marché des peintures intérieures, les gammes les moins émissives en COV sont signalées par une étiquette A+ et une teneur en COV qui peut descendre en dessous de 1 gramme/ litre, sachant que la valeur réglementaire pour une peinture mate intérieure se situe en deçà de 30 g/l. Quelques fabricants, dont Caparol et Unikalo, sont en mesure de garantir une faible teneur en COV même après coloration de la peinture. Ils ont pour cela fait évoluer leur système de mise à la teinte afin de n'intégrer que des pigments sans COV. Pour les autres, la teneur en COV est susceptible d'augmenter à partir de la base de blanc. Pour mettre au point de nouvelles formulations faiblement émissives, les industriels ont été amenés à trouver un équilibre entre qualités sanitaire et environnementale d'une part et propriétés techniques d'autre part. Dans cette recherche d'un moindre impact sur la qualité de l'air intérieur (QAI), il s'agissait en effet de ne pas oublier les qualités fonctionnelles et d'usage d'une peinture, comme sa capacité à couvrir les[…]
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