La salle de prière du complexe bouddhiste de Bussy-Saint-Georges peut accueillir 438 fidèles.En phase chantier, des réservations avaient été prévues en toiture pour la pose du Bouddha de jade, effectuée par grutage.
© Xavier Benony
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Entre renouveau programmatique et invariants symboliques, la construction des lieux de culte doit toujours composer avec les particularismes liturgiques.
En dépit d'une apparente désaffection de la société pour la chose religieuse, force est de constater que l'on construit toujours des lieux de culte dans l'Hexagone. Quelle que soit la communauté à laquelle ils se destinent, une législation spécifique leur est applicable, que rappelle un guide* publié en 2016 par le ministère de l'Intérieur. En plus des règles d'urbanisme dictées par le PLU, ces édifices, que le Code de la construction et de l'habitat catégorise comme des ERP de type V, sont assujettis aux réglementations de sécurité incendie et d'accessibilité. Une donnée qui se complique si l'on considère « la tendance actuelle à la polyvalence de ces bâtiments » que souligne Xavier Gonzalez (atelier Brenac & Gonzalez), récent signataire d'une maison d'église à Boulogne-Billancourt. Et que l'architecte Marc Rolinet, concepteur de plusieurs temples protestants, confirme : « Du fait de la mixité des usages qui se développe dans ces lieux, conjuguée à une densité d'occupation fluctuante, il peut être nécessaire d 'y appliquer la réglementation des ER P de type L [salles à[…]
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