Les tours de bureaux de La Défense représentent la moitié du bilan carbone du quartier. Et depuis leur construction, un quart d’entre elles n’ont jamais entrepris la moindre rénovation.
© Sabrina Budon
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Afin de transformer le quartier d’affaires en territoire post-carbone, l’établissement public Paris-La Défense a dévoilé dix mesures pour réduire de moitié ses émissions d’ici à 2030.
Premier quartier d’affaires d’Europe et quatrième au monde avec ses 560 ha et ses 3,7 millions de m² de surface, La Défense a mal vieilli. À elles seules, les tours de bureaux représentent la moitié du bilan carbone du quartier, avec 1 million de t eq/CO2. Soit la consommation d’une grande ville de province. Double problème: un quart des tours existantes (qui abritent 1 million de m² de planchers) n’ont, depuis leur construction entre les années 1970 et 1990, jamais engagé de rénovation. Pour rattraper son retard, l’établissement public Paris-La Défense a lancé une concertation dans le cadre des États généraux de la transformation des tours. Pendant plus de six mois, 800 acteurs publics, propriétaires, locataires, promoteurs, architectes et experts ont planché pour réfléchir à La Défense de demain. De ces débats sont sorties dix mesures projetant le quartier d’affaires dans une ère post-carbone dont elle se veut l’étendard. Dans un acte rare de contrition, l’établissement public reconnaît que l’enjeu est énorme[…]
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