La performance de l'enveloppe du collège Jacques-Ellul, en construction à Bordeaux (33), repose sur des prémurs au RdC avec isolation PSE+ laine de roche et une construction bois à isolation répartie au R+1 avec isolation en laine de verre. Cette opération vise les certifications E3C2, BBCA et Effinergie.
© Latour-Salier Architectes
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La maîtrise des conditions de confort dans les classes en hiver est principalement une question d'isolation de l'enveloppe, de performance des vitrages et de systèmes énergétiques.
Assurer le confort thermique dans un collège ou un lycée de dernière génération est moins complexe l'hiver que l'été. Le travail sur le confort d'hiver concerne en premier lieu les performances de l'enveloppe et la température des parois. Comme le souligne Jérémie Guilliorit, ingénieur chef de projet construction durable chez Nobatek-Inef4, « le simple respect de la RT2012 incite à aller vers des résistances thermiques de parois très élevées, que ce soit en façade, en toiture ou au niveau des surfaces vitrées. Il permet également d'atteindre des objectifs ambitieux en termes d ' étanchéité à l 'air et de consommation énergétique totale » . De fait, ces sujets sont aujourd'hui bien maîtrisés par les concepteurs et les entreprises. L'enjeu sur de nombreuses réalisations consiste à pousser plus loin les performances au travers de démarches passives ou à énergie positive. Il en est ainsi du futur collège Artem, à Nancy (54), où l'objectif Passivhaus a dicté le choix d'un très haut niveau d'isolation. « Le bâtiment à ossature bois comporte une[…]
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