En clin d'œil à l'architecte rennais Georges Maillols, la façade ouest sur rue se pare de balcons géométriques dont le rythme irrégulier et répétitif donne du relief et de la profondeur à la façade. Les jeux d'ombres s'y mêlant, créent alors un véritable motif graphique.
© Sergio Grazia
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L'épreuve du confinement a mis en évidence la nécessité de repenser les standards du logement. Une démarche que portent déjà certains concepteurs en vue d'accroître la qualité d'usage dans le parc social neuf.
L'épidémie de Covid-19, avec 67 millions de Français confinés, a contribué à requestionner l'habitat sous le prisme de l'habiter. Le confinement a « internalisé les fonctions quotidiennes à l'échelle du domestique », l'architecte Sophie Delhay, et l'on peut se demander de quelle manière les bailleurs sociaux vont s'emparer de ce nouvel enjeu de confort et parvenir à apporter un supplément de qualité spatiale à coûts maîtrisés. D'autant que les plans locaux de l'habitat des métropoles imposent une part croissante (20 à 25 %) de logements sociaux dans les opérations privées… « Le logement social reste garant d 'une certaine qualité, car il pose des garde-fous, notamment en termes de surfaces », remarque l'architecte Maxime Le Trionnaire, de l'agence a/LTA. Généralement, on observe des ratios supérieurs de 5 %, (quand un T3 sort à 62 m2 dans le privé, le locatif social varie entre 63 m2 et 65 m2). « La pandémie donne des arguments supplémentaires pour proposer encore plus de qualité ! » Un avis partagé par les[…]
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