Les données contenues dans la maquette numérique d'un projet peuvent être exploitées, moyennant une automatisation des imports, par les logiciels de calcul d'ACV. Des process qui restent à améliorer.
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La maquette numérique doit être parfaitement renseignée afin que les logiciels d'ACV puissent y puiser automatiquement les données et faciliter ainsi les calculs du bilan environnemental, entre autres.
La future réglementation environnementale (RE2020) s'appliquera aux permis de construire des logements neufs à compter du 1er janvier 2022. L'une de ses priorités est de réduire l'impact sur le climat des nouveaux bâtiments en prenant en compte toutes les émissions carbone sur la durée de leur cycle de vie, de la construction jusqu'à la fin de leur utilisation. Pour cela, des seuils d'émission ont été fixés (640 kgCO2éq./m².an pour les maisons individuelles, 740 kgCO2éq./m².an pour les logements collectifs… ). Chaque projet devra rester en deçà de ces seuils. Les concepteurs ont donc à réaliser les calculs liés à l'analyse du cycle de vie dynamique (ACV) de leurs bâtiments, selon le référentiel du label E+C-. Censé intégrer la totalité des données d'un projet, le BIM semble tout indiqué pour obtenir ces résultats. « La maquette numérique peut servir à gagner du temps et à éviter des erreurs de saisie pour la quantification des consommations d'énergie et des matériaux », Bruno Peuportier, directeur de recherche au Centre[…]
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