Sécheur à lit fluidisé utilisé pour les essais menés dans l'usine Lafarge du Val d'Azergues (69).
© PN Fastcarb
Pour lire l’intégralité de cet article, abonnez-vous aux Cahiers Techniques du Bâtiment - édition Abonné
Le projet de recherche Fastcarb, visant à accélérer la carbonatation des bétons, a permis de démontrer la faisabilité de ce procédé qui pourrait permettre de réduire l'impact environnemental des bétons.
Un pas supplémentaire vient d'être franchi dans la stratégie de réduction des émissions de CO2 du bâtiment. Après cinq années d'études, le projet national Fastcarb, dont le but était de développer une solution de carbonatation accélérée des bétons, a rendu ses conclusions lors d'une journée de restitution organisée le 27 septembre dernier au ministère de la Transition écologique. Il avait pris la suite du projet national Recybéton mené entre 2012 et 2017, dont les recommandations avaient à l'époque permis d'augmenter les seuils de réutilisation des bétons recyclés dans les matériaux de construction (norme EN 206). Pour rappel, le projet Fastcarb avait pour objectif de réfléchir aux moyens d'accélérer la carbonatation naturelle des bétons, un phénomène qui se produit au cours du cycle de vie de ce matériau, lequel capte une partie du CO2 émis dans l'air ambiant. Toutefois, sans aide artificielle, ce phénomène se produit sur plusieurs décennies, ce qui n'est pas suffisant pour limiter aujourd'hui l'empreinte carbone du secteur[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30
et de 13h30 à 17h30) ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr.
