Depuis plusieurs années, l'Institut d'aménagement et d'urbanisme Île-de-France (IAU IDF) utilise le CIM (City Information Modeling) pour réaliser des simulations de crues centennales en région parisienne. Ces cartes sont très utiles pour adapter le plan local d'urbanisme intercommunal et étudier les fondations des constructions exposées à ce risque.
© IAU Île-de-France
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Les crashs tests réalisés sur des avatars issus de la CAO au format BIM/ IFC permettent de déterminer les réactions d'un bâtiment aux aléas climatiques de type séisme, ouragan, pollution, inondation…
À l'instar des crashs tests réalisés par les industriels sur leurs produits avant ou après leur mise en production pour les améliorer, la maquette numérique constitue un avatar bien utile pour tester la résistance et le comportement d'un bâtiment en cas de mouvement de terrain, de séisme, d'inondation ou lors d'un orage, d'un cyclone… Auparavant, ces essais passaient par des calculs fastidieux et complexes, effectués selon des données théoriques. « Avec le BIM qui inclut les données techniques caractéristiques des objets des maquettes numériques, il est possible de réaliser des études et des simulations sur l'impact d'un aléa précis », souligne Emmanuel Di Giacomo, responsable des écosystèmes BIM chez Autodesk. En effet, chaque objet (composant structurel du bâti) peut contenir des informations IFC (Industry Foundation Classes) sur ses matériaux constitutifs, sa résistance aux vibrations, à la torsion… Soumettre la maquette numérique à des algorithmes de calcul informatique prédéfinis permet d'obtenir des résultats quasi immédiats,[…]
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