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Les critères de la taxonomie permettent d’identifier les activités qui contribuent réellement à lutter contre la crise climatique. Un langage qui doit aider les investisseurs à mieux flécher leurs financements.
Lancée en 2018 par la Commission européenne, la taxonomie encadre les dix secteurs les plus émetteurs de gaz à effet de serre (GES) en Europe. Le BTP en fait partie, à travers les activités de construction de bâtiments neufs, de rénovations, de propriété et d’acquisition. Pour être éligible à la taxonomie, une entreprise doit prouver que ses activités contribuent substantiellement à l’un des six objectifs environnementaux définis par la Commission européenne (voir encadré ci-contre), sans causer de préjudice grave aux cinq autres. Pour chacun des objectifs, la Commission européenne pose un cadre précis, avec des seuils à atteindre ou à ne pas dépasser, et des exigences à respecter. Chaque pays doit ensuite appliquer les textes européens en fonction de sa propre réglementation. Les documents aujourd’hui disponibles concernent les contributions substantielles pour les objectifs d’atténuation et d’adaptation au changement climatique. Quant aux textes relatifs à la contribution substantielle pour la transition vers «une[…]
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