En cours de construction à Saint-Étienne (42), l 'extension du campus Saint-Michel est un projet Passivhaus en bois CLT et paille conçu par l'Atelier Rivat.
© Atelier Rivat
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De nombreux retours d'expérience témoignent, depuis plusieurs dizaines d'années, de la pertinence des réflexes bioclimatiques et de la qualité de l'enveloppe de ces bâtiments à très basse consommation.
Les tenants de la construction passive et du bâtiment à énergie positive (Bepos) ont fait le choix de la sobriété et de la performance énergétique en revisitant l'acte de construire de fond en comble. Une démarche exigeante aujourd'hui scrutée avec intérêt par nombre d'acteurs du bâtiment à la recherche d'un modèle de conception plus résilient face à la montée des prix de l'énergie et de la raréfaction annoncée des énergies fossiles. Partie de Suède et d'Allemagne au début des années 1990, la construction passive s'est développée dans toute l'Europe, et a fait des émules sur tous les continents jusqu'aux États-Unis et en Chine. En France, la base de données internationales du Passif* recense 457 projets labellisés Passivhaus. Sans compter les constructions qui n'ont pas fait l'objet d'une démarche de certification. Les réalisations passives couvrent tous les types de bâtiments : logements individuels et collectifs, bureaux, ERP, etc. « L'approche passive consiste à privilégier la qualité de l'enveloppe, la conception[…]
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