© Codah
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L'interopérabilité entre les formats du BIM et des SIG progresse. L'automatisation de processus d'échanges facilite la collaboration des concepteurs et des gestionnaires d'infrastructures et de patrimoine.
Annoncée il y a déjà plusieurs années ; formalisée fin 2017 par un partenariat entre Autodesk, leader américain de la CAO, et Esri, champion mondial de l'information géographique ; en cours de normalisation auprès de l'ISO (Organisation internationale de normalisation)… La convergence entre les technologies du BIM (Building Information Modeling) et celles du SIG (Système d'information géographique) commence à se concrétiser.
L'objectif est d'associer le plan et la carte pour assurer la continuité des espaces et passer automatiquement, sans rupture, de l'architecture structurelle d'un bâti aux éléments localisés de son environnement. Avec pour objectif de partager et d'exploiter les objets et les données à différentes échelles et dans toutes les dimensions. Les exemples précurseurs ne manquent pas : la Communauté d'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines (78) pilote déjà ainsi ses espaces urbains ; la cartographie de la Société du Grand Paris intègre 1 million de bâtiments en 3D - dont 68 gares et 140 km² d'aménagements[…]
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