La GTB du data center Marilyn de Celeste, à Champs-sur-Marne, a été modernisée récemment, avec des automates Jace et un superviseur Niagara distribués par Btib, qui fonctionnent sur IP et qui sont programmables.
© Celeste
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La voie privilégiée pour réduire le coût de la climatisation est de rafraîchir avec des frigories gratuites (free cooling ou free chilling) provenant soit de l'air extérieur, soit de l'eau ou du sous-sol (geocooling).
Pour climatiser un data center, le plus simple est d'extraire le froid de son environnement. D'où des implantations dans des zones climatiques spécifiques. La société américano-norvégienne Kolos envisage, par exemple, de construire un des plus grands data centers au nord de la Norvège, au-delà du cercle Arctique. Quant à Microsoft, elle expérimente une nouvelle approche avec le projet de recherche Na-tick, qui vise à immerger un conteneur abritant 864 serveurs pendant cinq ans à 100 mètres de profondeur dans les eaux glacées de la mer écossaise. En France, tout du moins dans sa partie nord, le free cooling sur air extérieur évite d'avoir recours aux circuits frigorifiques des groupes froids et peut être exploité plus de onze mois par an.
Recours accru au free cooling
Un des premiers exemples ambitieux d'utilisation du f ree cooling est le data center Normandie de Orange, situé à Val-de-Reuil (27), construit à partir de 2010 et qui abrite quatre salles informatiques de 1 200 m² chacune. « Auparavant, les boucles d[…]
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