La pente d'une toiture en ardoise varie selon la région, le climat, la proximité de la mer et une plus ou moins forte exposition aux intempéries.Elle détermine le recouvrement de l'ardoise, compris entre 9 et 16 cm.
© Cluster da Pizarra
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Principalement utilisée dans le domaine de la restauration de maisons, de bâtiments traditionnels ou d'exception, l'ardoise connaît un renouveau dans le neuf, où se développent de nouvelles typologies de façade et de couverture.
L'ardoise appartient à la famille des schistes, ces pierres à structure feuilletée qui se débitent en plaques plus ou moins fines. Il s'agit d'une roche métamorphique dont la formation sous haute pression et température extrême date de quelque 500 millions d'années. Les premières traces de son utilisation en couverture remontent au Néolithique, mais c'est véritablement la construction des grandes cathédrales qui marque l'essor de son extraction dans des carrières à ciel ouvert ou souterraines.
Très présente sur les toits parisiens, l'ardoise présente des épaisseurs courantes de 3 à 5 mm, et de 8 mm à 1 cm pour les monuments historiques et le patrimoine ancien.
La France possède à ce titre une longue tradition ardoisière. Le matériau est présent sur de nombreux édifices historiques, qu'ils soient religieux, publics (mairies, écoles, moulins… ) ou privés (châteaux, belles demeures… ). Il se retrouve également dans l'architecture traditionnelle, sous forme de toiture ou de bardage, dans des[…]
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